Pour les humains, on appelle ça le triangle des Bermudes, pour les bermudiens, il s’agit là de l’archipel, du cœur des Bermudes. Un lieu légendaire où aucun navire, aucun avion n’a jamais été capable de revenir. L’archipel et ses habitants se cachent des humains, une barrière invisible et qui ne laisse aucun humain et bermudien entrer ou sortir depuis son apparition en 1500. SUITE...

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For a new beginning I would do anything - Astrid
Astrid Kumarlik
Messages : 1
DC : :o
Date de naissance perso : 16 avril 1994
Astrid Kumarlik



Mer 30 Déc - 18:24



Astrid Kumarlik
Belarus ; Hetalia : Axis Powers

Identité

nom & prénom(s): Astrid Kumarlik

âge: 26 ans

date de naissance: 16 avril 1994

groupe: mentaliste

pouvoir: Souvenir des mots
 
 clan: /////

région d'origine: Celtena

genre: femme

orientation sexuelle: Hétérosexuelle

métier/occupation: Employée dans une librairie
 
 Thème musical: New Beginning - Astrid Holiday


Physique

Seule dans ma chambre, je n'arrive pas à me résigner. Je ne veux pas y aller. Ce n'est plus pour moi. Je n'en suis pas capable. Je jongle entre les sanglots et les tentatives pour choisir une tenue. Rien ne va. Rien n'est plus comme avant.

- Bon ma chérie, tu vas te mettre face à ce miroir et me dire ce que tu vois.

- Quoi ?

- Tu m'as très bien comprise... Fais pas la neuneu.

Résignée, je me place face au grand miroir qui se trouve dans ma chambre. J'essuie doucement la larme qui coule sur ma joue.

- Je... Je vois une jeune femme. Je... Je suis pas très grande ?

- S'il te plait, ma pauvre, fais un effort. Tu comptes me donner ta taille exacte tant qu'on y est ?

- Eh bien, je fais 1 mè...

- Ouais ouais, on sait. Tu fais 1m68 pour 61kg. Enfin, avec tous les pots de glace que tu t'engouffres, t'en feras bientôt le double. Réveille-toi ! Remets-toi à la danse, fais quelque chose, sinon tu vas perdre ta belle silhouette !

Elle a raison, je devrais arrêter de manger quand je m'ennuie ou quand je me sens nulle. J'ai déjà pris quelques kilos et je ne sais pas comment je vais réussir à les perdre. Je trouve plus le temps pour la danse, enfin, je ne me l'accorde plus. Pourtant 2h par semaine, c'était tout ce que je faisais. C'est pas tant que ça et pourtant rien que ça me permettait d'avoir un corps fin, tonique. Que  je suis ridicule.

- Je t'entends penser. Tu n'es pas ridicule. Tu as juste besoin de te reconsidérer.

- Je... Quoi ? Enfin...

Je suis totalement perdue. Je me remets à pleurer.

- Bon, je prends la relève. Tu vas bien m'écouter.

Une expiration, un reniflement et j'essaye de rester concentrée.

- Tu es une jeune femme de 26 ans tout à fait magnifique et unique. Tes cheveux blonds sont un véritable don de l'Unique. Surtout qu'il t'a aussi donné des yeux parfaits. Bleus, avec des reflets violets. Ce sont tes yeux que je préfère sur ton magnifique visage de princesse.

- Je ne suis pas une princesse, juste une...

- Mais tu vas te taire oui ? Laisse-moi décrire la femme resplendissante que tu es. Tu es bien trop incapable de le réaliser.

C'est vrai. Je me laisse vraiment aller. Ça fait un bon moment que je ne me suis pas trouvée belle. Seul mon prince charmant arrive à me faire sourire.

- Et tu sais ce qu'il aimerait ton prince charmant ?

- N-non ?

- Que tu sèches tes larmes, que tu enfiles ta plus belle tenue et que tu me maquilles ce joli visage rougi par les émotions.

- J'ai rien à me mettre.

- T'es à l'ouest ma chérie ou quoi ? Tous tes vêtements sont magnifiques - et je ne dis pas ça parce qu'on a fait des achats ensemble. Avant, tu ne portais presque que tes robes extravagantes assorties de ton nœud dans tes cheveux. Mais maintenant, tu es à la pointe de la mode. De la tenue de sport confortable à la robe de soirée élégante, personne ne t'arrive à la cheville.

- Merci... Je vais essayer.

Elle me fait légèrement sourire. Je les aime bien mes nœuds moi. Elle ne les a jamais aimés elle peut-être. Je ne sais plus. En tout cas, elle a toujours les mots pour me réconforter, m'encourager.  

Je tourne la tête et elle n'est plus vraiment là. Non... Elle ne sera plus jamais là.

Caractère

Encore une fois, je me suis perdue et j'ai eu une discussion avec elle. Peut-être que je suis devenue folle, sûrement même. J'ai l'impression qu'elle est toujours là pour moi, qu'elle le sera toujours. Mais ce n'est pas le cas. Mon esprit n'arrive juste pas à accepter que je doive continuer ma vie sans elle. La vie tout entière continue sans son sourire, sans son...

- Je t'entends toujours penser pour rien. Alors va t'habiller maintenant. Tu trouveras pas d'excuse pour ne pas y aller !

- D'accord...

Même sans la voir, j'entends sa voix. Je suis vraiment devenue folle. Avant, j'étais tellement sociable, souriante. Je discutais avec tout le monde, je trouvais toujours le moyen d'aider les autres, surtout quand on ne me demandait rien en retour. Maintenant, j'ai peur de tout, je n'ai plus vraiment confiance. Je suis devenu froide et inaccessible. Je refuse qu'on accède à mon cœur, à mes émotions. Je me montre forte devant les autres. Alors qu'au fond, je suis brisée.

- Tiens mets cette robe. Elle est parfaite.

- Mmh.. Non, je suis pas certaine, elle est trop courte.

Déçue, mais pas abattue, elle continue de me chercher une robe parfaite. Avant, je parlais avec tout le monde. Maintenant, je parle avec l'esprit de mon amie. C'est mon soutien. Je m'appuie sur elle quand c'est vraiment trop dur. Et c'est souvent dur pour moi. Je suis une mentaliste, j'ai travaillé à Xényla et j'ai même été une des conseillères de M. Le Principal. Un comble quand on sait que je ne l'ai jamais apprécié. Ces aspects de ma vie ne me permettent pas de me faire beaucoup d'amis maintenant. J'ai une très mauvaise image.

- Tu devrais mentir aux personnes que tu rencontres, ils n'ont pas besoin de savoir qui tu es.

- Mais je suis incapable de mentir ! La sincérité, c'est important. Mes parents me l'ont appris.

- Parfois, les parents n'ont pas raison... Et cette robe ?

- Non...

Même pour trouver une robe, j'en suis incapable. J'ai juste envie de rester chez moi ce soir, j'ai envie de lire un livre et d'oublier le reste. Pourquoi pas même lire quatre ou cinq livres ? Ça me tiendra réveillée.

- Dans tes rêves ma chérie.

- Pfff...

- Bon ferme les yeux. On va jouer à un jeu.

Je m'exécute. Elle sait que j'aime les jeux. Même dans les pires situations, je suis toujours prête à participer.

- J'ai dans mes mains deux magnifiques robes. Donc gauche ou droite ?

On est loin du jeu de cartes, mais ça reste un jeu. Je me plierai au résultat, peu importe de toute façon. Je mettrai de côté ma mauvaise foi et mettrai la robe choisie. Je ne ferai pas ma mauvaise joueuse.

- Droite.

- Parfait, tu seras resplendissante. Maintenant bouge-toi.

J'ouvre les yeux et je me retrouve face à une magnifique robe rose à paillettes. Une robe très près du corps, sans être trop courte ou vulgaire. Ma mère me l'avait achetée pour une soirée à laquelle je n'étais jamais allée. Je crois que c'est l'occasion ce soir.

En l'essayant, je me rend compte qu'elle me va parfaitement bien. Mais je ne veux pas qu'on me remarque trop et avec cette robe, c'est mal parti.

- T'inquiètes pas, j'ai pensé à tout. Petite veste de tailleur noire, petit chapeau noir, petites bottines noires. Et pour garder tes affaires en sécurité, petite pochette noire. Tout en noir, comme ça, tu passeras inaperçue.

- Je... Je suis pas certaine ?

- Moi je le suis. Tu sais qui est la plus belle femme de l'île ? Moi. Donc tu me fais confiance.

Elle a raison, elle sait toujours exactement comment s'habiller et ses conseils sont les meilleurs.

- Merci.

Donc je vais mettre cette tenue et ça sera parfait. Mais pour l'instant, je dois me maquiller, je n'ai que la robe sur moi et il faut que je me dépêche. Pour être sur mon 31, un ravalement de façade s'impose.

- Soit pas méchante, t'es belle au naturel. Mais là, je veux des paillettes, je veux du glamour, je veux du canon. Ce soir, tu vas m'effacer ce visage de première de la classe et tu vas me montrer que tu peux être la femme fatale que tu mérites d'être.

Elle a encore raison, je fais trop sérieuse. On dirait que je m'en vais à une journée de cours au lycée. On me rajoute des lunettes et me voilà la majeur de promo que j'étais à l'université. Je ne vais pas à cette soirée pour étaler ma culture générale, montrer à quel point ma soif de connaissance est toujours entière. J'y vais pour passer du temps avec Owen, me sentir aimée. Et peut-être bien pour étancher ma soif d'alcool.

Mais vraiment, surtout pour être avec mon prince charmant. J'ai subi beaucoup d'épreuves dans ma vie, j'ai connu quelques déceptions amoureuses. Ma sensibilité a été mise à rude épreuve. Aujourd'hui, je me sens forte sans l'être. Le seul qui arrive à atteindre mon coeur, c'est mon barman. L'homme qui j'espère va rester dans ma vie très longtemps. C'est lui l'homme parfait.

- Va le retrouver ton homme parfait. Si tu continues de t'appliquer cet highlighter avec autant de passion, tu ressembleras à un lampadaire.

- Oups... Je...

- Regarde-toi, t'es magnifique. Enfile le reste de ta tenue et disparais. Je veux plus te voir avant longtemps !

Elle a raison encore. Il y a quelques instants, je pleurais sur mon lit. Maintenant, je suis prête à vivre une soirée bien particulière.

Histoire

Après avoir enfilé ma veste, mes bottines et posé le chapeau sur ma tête, je me sens prête à y aller. J'attrape la pochette et je me regarde une dernière fois dans le miroir. Mes cheveux bouclés créent le plus bel effet. Un rouge à lèvres rose assorti à ma robe, couvert d'un léger gloss pailleté, habille ma bouche, mes yeux sont très légèrement maquillés, juste le trait d'eye-liner qu'il faut, le fard est d'un vieux rose intense. Le clou du spectacle, c'est cet highlighter. Je suis certaine de ne pas en avoir mis trop.

- Je te l'ai dit, t'es parfaite.

- Merci.

- Passe une bonne soirée.

En refermant la porte derrière moi, je comprends bien qu'il n'y a plus de retour en arrière. Owen m'attend et je serai même en avance. J'ai appelé un taxi, hors de question d'y aller à pied dans cette tenue. Je ferai la même chose pour le retour, je ne suis pas certaine de réussir à retrouver le chemin pour rentrer chez moi. Nous sommes le 31décembre et la seule personne avec qui j'avais envie de passer à une nouvelle année, c'est Owen. Alors ça sera dans son bar, parce que monsieur organise une soirée spéciale. Je ne serai pas le centre de son attention, mais ce n'est pas bien grave, Je veux être avec lui, je me sens bien là-bas.

Le taxi me dépose à l'adresse du bar et j'y pénètre avec hâte. Il fait bien froid dehors. Directement, je repère mon beau barman afféré derrière son comptoir. Je vais m'installer à ma place presque attitrée désormais. J'aime ce bar presque autant que son propriétaire. Celui-ci ne m'a pas encore vue.

- Bonsoir monsieur, je vais prendre votre meilleur cocktail.

Il se retourne et me tend un shooter rouge.

- Bonsoir mademoiselle, vous êtes...

Un instant, il ne dit plus rien, ne fait que me regarder. Il sourit, je rougis.

- Vous êtes encore plus belle que dans mes souvenirs... Je me permets de vous offrir ce shooter de bienvenue. Rouge comme l'amour qui m'anime lorsque vous êtes proche de moi.

Quel romantique cet Owen, il avait tout prévu. J'adore quand il me surprend. Il est vraiment le seul à me faire chavirer de la sorte. Son simple sourire me fait oublier tout le reste, me fait oublier que rien n'est stable dans ma vie.

- Je t'aime grand fou !

- Je suis seulement fou de toi. Et euh... Tu m'as fait oublier mon programme du soir. C'est pas du jeu de débarquer comme ça et de m'éblouir. T'as sorti le grand jeu !

- T'abuses, c'est trois fois rien.

- Reste que je te trouve magnifique.

Encore une fois, je souris. Je suis contente de lui plaire, toujours et encore. Je le trouve tellement beau et savoir qu'il me trouve belle également, ça fait battre mon cœur encore et encore. Quand j'aurais bu ce shooter, il battra encore plus fort. En le portant à mes lèvres, je sais déjà que c'est à la cerise.

- Bien, tu as bu ton premier shooter. Demain, ça sera une nouvelle année, donc on va jouer à un jeu que j'aime vraiment. Pour chaque shooter, tu vas me raconter une anecdote sur ta vie. Même si je le sais déjà.

- Euh... Vraiment ?

- Oui ! Je veux te changer les idées et c'est une super manière de le faire. Tu verras ça fait du bien de faire le point sur sa vie !

Il sait pertinemment que je ne suis pas au top de ma forme. Il le voit. Je ne lui dis pas tout, pour ne pas l'inquiéter. Il doit le deviner. Mais pas question que je dise quelque chose qui l'inquiète, alors je vais trouver des subterfuges.

- Très bien...  Alors, tout a commencé le 16 avril 1994. Mes deux parents ont donné naissance à une petite fille qu'ils décidèrent d'appeler Astrid. C'est moi. J'ai eu beaucoup d'amour d'eux, parce que je suis fille unique. Je ne dirais pas que ma famille fait partie des plus riches de l'île, mais on est vraiment pas à plaindre. J'ai grandi dans la capitale, en recevant une très bonne éducation. Mes valeurs sont excellentes mon bon monsieur. D'ailleurs, j'aimerais toujours votre meilleur cocktail.

- Tu as parfaitement assimilé le but du jeu ! Bon, je vais m'occuper d'autres clients et je reviens avec le fameux cocktail.

Comme il l'a annoncé, je le vois disparaître pour parler avec d'autres clients et s'afférer à ce que la soirée soit parfaite. Il discute, rit, mélange des alcools, remplis des verres. Je pourrais le regarder faire des heures et des heures. Mais le revoilà avec mon cocktail et le second shooter, Orange cette fois-ci. Je le connais, il va me faire toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.

- Et voici ma belle ! J'attends la deuxième anecdote.

Je le remercie en souriant et me retiens de lui faire un bisou. Sauf que lui ne se retient pas du tout, après avoir bu mon deuxième shooter, il me regarde droit dans les yeux et se penche au-dessus du bar pour m'embrasser. Il va me faire fondre.

- Mmh... Ma deuxième anecdote, c'est que j'ai la chance de t'avoir dans ma vie.

- Chronologiquement, ça ne me semble pas très juste. Retente.

Il dit ça en me souriant et en attrapant mon chapeau pour le poser derrière le comptoir. J'avais oublié de l'enlever. Quelle idiote je fais.

- Bon... Mon enfance peut-être... Non, je vais mettre toute ma scolarité dans la même anecdote. T'en auras pour ton argent. Je veux pas faire ma prétentieuse, mais j'ai toujours été la meilleure de ma classe. Mes parents sont les plus fiers du monde quand il faut parler de moi. Mes notes vacillaient entre très bonnes et excellentes. J'ai fini l'université avec une année d'avance et en ayant l'audace d'être major de promo. Mes parents n'ont jamais compris pourquoi j'ai foncé sur le poste de bibliothécaire à Xényla au lieu de continuer les études. Un véritable mystère, je l'avoue. La fougue de la jeunesse peut-être ? Je regrette un peu maintenant...

Déjà, je sens un peu de tristesse monter dans ma voix. Je me réfugie dans mon cocktail que je bois toujours avec cette fameuse paille. Il me connait si bien. Trop bien même. Il sort son troisième shooter de sa manche.

- Allez, t'arrêtes pas en si bon chemin. Un peu de citron pour te piquer l'esprit !

- Tu vas me rendre soule avant minuit toi haha.

- C'est pas le but. À force de te servir à boire, je connais tes limites ma belle.

Je l'aime ce con, ça s'est sûr. J'avale mon shooter avec une petite grimace. Le citron, ce n'est toujours pas pour moi.

- Parle-moi de tes passions !

- Mmh... J'adore lire. C'est ça qui m'a poussée à devenir bibliothécaire. Être toujours plus proche des livres. Je n'arrive toujours pas à savoir si mon pouvoir est venu parce que je vis avec des livres depuis que je suis petite. Ou si c'est ma passion pour les livres qui vient de mon pouvoir. Je pense que je ne le saurai jamais. Je respire livre, je mange livre. Et à côté, je fais de la danse depuis mes 7 ans. Enfin, j'en faisais du coup, j'ai arrêté, tu le sais... Mais que ça soit les livres où la danse, les deux me permettent de m'évader. Je rêve de voyage, d'aventures, de princes charmants. Et je l'ai trouvé mon prince charmant.

- J'espère bien que tu l'as trouvé ton prince charmant.

Il me sourit en s'éloignant. Je reprends mon verre en main quand il revient vers moi.

- Au fait… Tu devrais refaire de la danse, t'es vraiment douée pour ça !

Et il disparait à nouveau. Il est bien occupé ce soir. Il a fait en sorte que tout soit parfait en ce soir particulier. Même la musique est excellente, comment n'aurait-il pu ne pas programmer le groupe de sa sœur ? J'en suis devenue une fan inconditionnelle.

Avec mes trois premiers shooters et mon cocktail, je sens déjà l'alcool monter. Owen connait ma limite, c'est sûr. Mais ça fait longtemps que je n'ai pas bu et ça, il ne l'a peut-être pas retenu. Après, ce n'est pas plus mal, la dernière fois que j'ai trop bu, ça m'a permis de tomber amoureuse de lui. Trop boire fait des bonnes choses chez moi parfois. Donc bon, je vais rien lui dire, sûrement qu'il le verra de lui-même.

Il revient vers moi avec un shooter à la pomme. Je lui souris et me sens prête pour la prochaine anecdote. À chaque fois, il boit mes paroles avec des yeux qui pétillent. Il ne fait pas semblant de s'intéresser. Il connait déjà certaines informations et pourtant, il écoute tout. Je bois d'une traite le shooter vert et continue mon récit.

- Alors, comme tu le sais, j'ai fait mes années lycée à... Xényla. Toute ma vie tourne presque autour de cet endroit. C'est fou qu'il soit fermé maintenant. J'aimerais vraiment qu'il ne détruise pas l'établissement, mes souvenirs seraient comme détruits avec. Tu ne penses pas la même chose pour toi ? Enfin bon, l'anecdote. J'étais dans la classe Passion, la meilleure des classes. J'ai vécu mes meilleures années. Apprendre toutes ces choses sur les humains, sur l'histoire, sur tout ! Et puis la bibliothèque. Mon antre, mon lieu d'habitation presque. J'avais 16-17 ans en arrivant là-bas, je ne sais plus. La bibliothèque de ce lycée a été l'endroit que je préfère dans la capitale. C'est toujours le cas et maintenant je n'y remettrai plus les pieds. C'est là-bas que j'ai rencontré mon premier grand amour, comme dans un film. Je t'en ai parlé de lui... Et je ne le reverrai jamais... Il est parti.

Sur ces mots, je finis mon cocktail déjà bien entamé.

- Monsieur Anderson, avant de plomber l'ambiance, il me faut un autre verre !

Pas besoin de m'étaler plus sur le sujet. J'ai Owen maintenant et repenser à ce décès ne me ferait que déprimer. Cette anecdote est finie et ça suffit. Mon beau barman passe sa main sur ma joue et y dépose un baiser.

- Je reviens tout de suite, bouge pas princesse.

Tout de suite, quand tu fais ce boulot, ça veut dire qu'il va s'occuper de plein d'autres clients et qu'après il reviendra. C'est toujours comme ça. Alors je joue avec une mèche de mes cheveux en l'observant. On dirait que je fixe le vide, mais pas du tout. Enfin, à force, si, je commence à tout regarder et plus rien en même temps. Je ne vois pas tout de suite l'homme qui s'est approchée de moi. Seule sa voix me fait sortir de mes pensées.

- Salut beauté. Je t'offre un verre ? Faut pas rester toute seule comme ça, surtout quand on est aussi jolie. Il te faut un vrai homme avec toi.

- Heu... Je...

- Ça va merci, elle n'est pas seule. Elle a déjà son "vrai homme" avec elle. Tu peux tenter ta chance ailleurs.

Sauvée par le preux chevalier. Il vient d'arriver avec mon petit cocktail et mon shooter suivant. C'est son fameux bleu azur et celui-ci, me fait vraiment rêver. Je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée, je sens déjà bien l'alcool sur mes joues et dans ma tête. Mais à peine le shooter posé que je le prends.

- J'en ai de la chance, le sauveur de sa dame.

- C'est bien ça, sauveur de ma dame hehe.

- Bon, anecdote suivante. Pas bien folichonne mais...

- Attends quoi ? "folichonne" ? T'es sûre que t'as pas déjà trop bu toi ?

- Non t'inquiètes. Doooonc ! Une de mes meilleures rencontres c'est avec la bibliothécaire du lycée, celle que tu as également connue. Une crème cette dame, vraiment un amour. C'est grâce à elle que j'ai eu ce poste au lycée. C'est grâce à elle que beaucoup de choses d'ailleurs. C'est une femme exceptionnelle, on est d'accord hein ? Elle m'a aidé à considérer la personne que je suis, construire la personne que je suis. Du jour au lendemain, je suis devenue bibliothécaire du lycée. Mais grâce à mon argumentaire exceptionnel, j'ai également pu parrainer la classe Passion. Un rêve vraiment. J'étais avec Abig... Et... Ouais...

Ma gorge s'est nouée en tentant de prononcer le prénom de ma collège, colocataire et amie. Je n'ai pas réussi à le prononcer, tout s'est bloqué. Je sens les larmes monter et le regard d'Owen a changé sur moi. Il sent que ça ne va pas fort. Je me suis jetée sur le cocktail pour ne pas y penser.

- Je... Je...

- Attends, je reviens tout de suite, je suis vraiment désolé !

- Quoi ? Mais...

Je me retourne et je vois l'homme de tout à l'heure en train de coller une fille qui lui demande de partir. Owen le sauveur va immédiatement faire en sorte que le respect soit fait dans son bar. Je n'ai pas d'autre choix que d'attendre et de boire. Je vais finir mon verre d'ailleurs, j'ai besoin de boire. J'ai la tête qui tourne un peu. Parce que même si les shooters ne viennent pas si rapidement, je bois vite. Trop vite. Ma prochaine anecdote risque d'être un peu flou je crois. Pardon Owen. Je ne sais pas mentir, sauf quand l'alcool m'y pousse.

Après une bonne dizaine de minutes, Owen revient et il a même le shooter bleu foncé, enfin indigo. L'avant-dernier j'imagine.

- Je suis impardonnable... C'est tombé au pire moment. Les hommes bourrés peuvent parfois être incontrôlable. Ça va toi ?

Je me concentre le plus possible pour pas montrer que l'alcool me monte déjà à la tête. Si il le remarque, il va arrêter de me servir, il me connait et surtout il n'a pas envie de me ramasser à la petite cuiller.

- T'inquiètes pas Owen, sauveur de l'humanité, tout va super bien. Donne-moi ce shooter couleur de l'océan ! Et mon cocktail est vide, tu as été un peu long quand même, tu serais un amour de m'apporter un autre.

Il me tend le shooter que je bois d'un coup. Un délice celui-ci, il faut l'avouer. Myrtille quelque chose ? Je crois. Après quelques secondes, j'ai déjà le droit à mon cocktail, il est rapide. Je l'adore.

- Parfait ! Alors, mon anecdote suivante, ça sera... Euh...

Toutes mes idées défilent dans ma tête. Trop vite, bien trop vite. Je n'ai bientôt plus le contrôle. Il faut que je respire, sinon je vais avoir l'air alcoolisée. Enfin, c'est peut-être déjà trop tard ça. J'ai la tête qui tourne un peu.

- Parle-lui de moi.

- Non hors de question !

Voilà que je vois son esprit ici, c'est que j'ai vraiment trop bu. Je ne suis pas bien du tout.

- Comment ça ?

- Non rien... Je pensais à voix haute. Tu savais qu'après la fermeture de Xényla, le conseil m'avait proposé de rejoindre la milice ? Bah j'ai refusé. C'est fou non ? Enfin je sais plus là, c'est le conseil qui gère la milice ? C'est pas très clair. Haha. Bah, j'avais pas envie d'être là-dedans. Ils m'ont pourtant dit que j'étais une des plus puissantes du lycée, que mon pouvoir était intéressant et que blablablah. Je sais pas sur quoi ils se basent. Certes, je me suis beaucoup battue, mais quand même. Après clairement, je suis faite pour être bibliothécaire. Enfin je pense. Tu crois pas ? J'écris un livre aussi, mais j'en suis pas convaincue, c'est nul comme d'habitude. Je suis pas super comme personne. Je suis mentaliste, en plus j'ai bossé à Xényla et en plus j'étais conseillère du Principal à la fin. C'est fou ça. Je suis nulle... Enfin non. Enfin si... Je suis pas super à l'aise avec moi-même. Je... Rien.

Je baisse les yeux et je me sens honteuse. Je sirote mon cocktail qui a un drôle de goût. Je sens presque pas l'alcool. C'est bizarre. C'est ça quand on a bu ? Bah c'est pas terrible. J'aurais dû dire à Owen de plus le charger. Enfin, je ne sais pas trop.

- Parle-lui de moi.

- Astrid... T'es sûre que ça va ?

- Non ! ... Enfin si ... Ça va ! Désolée, je suis un peu à l'ouest.

- Tu sais que tu peux aussi me parler sans avoir bu tous ces cocktails ? Quand on est ensemble ? Je veux t'aider.

Mince, c'est sûr qu'il se rend compte que je ne vais pas bien. Enfin, il le sait que ça va pas top depuis quelques temps. Enfin depuis que ma chère amie a été tuée.

- Parle-lui de moi.

Je le vois s'éloigner, il va s'occuper d'autres clients. Mais il garde un œil sur moi. Il s'inquiète. Je devrais vraiment arrêter de faire semblant que je suis forte. Il arrive à lire dans mon cœur, je suis un livre ouvert en face de lui. Il sait tout. Sauf pour elle. Il ne sait pas que je parle avec elle. Il sait à quel point j'ai une mauvaise image de moi depuis les évènements avec le Principal, depuis que les mentalistes sont pris à partie. Il sait ça. Je devrais lui en parler. Mais rien que d'y penser, j'ai les larmes qui me montent aux yeux. Je ne suis pas bien du tout. Je veux m'enfuir en courant.

- Parle-lui de moi.

- Non, je peux pas !

Malheureusement, Owen revient juste à ce moment m'apporter mon dernier shooter, le violet.

- ne peux pas quoi ?

- Euh... Je... Je... ne peux pas boire ce dernier shooter, c'est celui de trop.

- Ne t'inquiètes pas, celui-ci est sans alcool...

Sans un mot de plus, je l'attrape et il n'y a plus de liquide en quelques secondes.

- Parle-lui de moi. Maintenant.

Je fonds en larme, je n'y arrive plus. Je lève mes yeux humides vers Owen, je regarde l'horloge. Il est presque minuit. Je suis alcoolisée, je suis en larmes. Tous ses efforts pour être belle, pour être forte. Alors que non, je ne suis pas forte.

- Mais Astrid ! Qu'est-ce qui va pas ? Non non non...

Mon beau prince charmant signale à son collègue ou son employé ou son je ne sais quoi qu'il doit s'occuper de moi. Il quitte son bar et vient vers moi. Délicatement, il me fait me lever et m'emmène dans une salle à l'arrière de son bar. Je suis déjà venue ici . Je crois, je ne sais plus. J'ai la tête qui tourne, les idées plus trop claires. Y a un canapé, c'est super. Je suis contente, je veux plus le quitter.

- Att... attends, ferme pas la p-porte ! Abig… Abi doit rentrer !

Il me regarde en ouvrant grands les yeux. Il ne comprend pas ce que je dis et moi je m'enfonce encore plus dans le canapé et cette fois mes sanglots ne semblent plus vouloir s'arrêter. J'ai réussi à dire son nom, c'est encore plus douloureux.

- Qu'est-ce qui se passe ? S'il te plait... Dis-le moi.

Il s'assoit sur le canapé et pose ma tête sur lui. Je suis couchée et je ressemble vraiment plus à rien, j'en suis sûre. Je veux disparaître.

- Parle-lui de moi. Il le veut.

- Bon bah s'il le veut... Owen... Dernière anecdote...

J'essaye de respirer calmement, de me calmer.

- Depuis la m-m... mort d'Abigail, je ne vais pas bien du tout... Tu... Tu... T'es la seule personne qui me fait sourire, qui me fait me sentir vi-vivante. Et je parle avec Abi aussi. Euh... Ouais... Je lui parle et elle m'aide... Enfin, je la vois avec moi qu-quand ça va pas fort. J-je veux pas t'inquiéter donc je dis rien... M-mais ça va pas. J'y arrive plus. Je t'ai... t'aime tellement fort. T'es toute ma vie O-Owen. J'ai que toi... Je suis plus personne s-sans toi. Me quitte jamais... J'ai peur. J'ai tellem-ment peur.

Je me sens m'endormir. Bercée par les battements de mon propre cœur qui bat dans ma tête. Enfin je crois que c'est le mien. C'est pas le sien.

- Je suis f-folle... Enfin... Je... Ouais... Je suis désolée. Je suis un poids pour... Euh... Toi. Je parl-le avec l'espr-rit de mon amie... Ça me-me rassure. Je c-crois. Je veux pas qu'elle dispar... dis... parte. Je... Je... t'aime Owen. T'en vas p-pas toi aussi.

Mon corps tout entier tremble. J'ai encore été trop bête. J'aurais dû rien dire. Je ferme les yeux et je veux tout oublier, ne plus rien être. Je m'endors, la tête comme un cyclone. Ça sera donc cela mon début d’année 2021.

- Je t'aime Astrid. Je serai toujours là. Je ne pars pas.

Grades

GRADE IV:  Capacités : Astrid peut revenir dans le passé en se concentrant sur un texte qu'elle est en train de lire. Le passé qu'elle rejoint est différent selon ce qu'elle lit. S'il s'agit d'une histoire fictive, elle rejoint l'histoire même. Cependant si c'est une histoire réelle, elle rejoint le moment où elle a été écrite.

Dans le présent elle disparaît. Cela peut durer 15 minutes maximum. Le périmètre où elle se trouve dans le passé ne dépasse pas 10 pas. Elle n'est que spectatrice et ne peut donc pas agir dans sa vision, elle est invisible.

Si jamais le passé qu'elle tente de rejoindre est dans le monde des humains, tout sera flou sauf ce qui est mentionné dans le texte.

Effets non désirés : Plus Astrid reste dans le passé, plus une migraine s'installe. Si elle approche de la limite de son pouvoir elle commence à saigner du nez.

Il lui faut 2 heures avant de pouvoir utiliser à nouveau son pouvoir. Pendant ce temps, elle est assez faible et doit éviter les efforts.

GRADE III: Capacités : Astrid peut revenir dans le passé en se concentrant sur un texte qu'elle est en train de lire ou qu'elle a déjà lu. Le passé qu'elle rejoint est différent selon ce qu'elle lit. S'il s'agit d'une histoire fictive, elle rejoint l'histoire même. Cependant si c'est une histoire réelle, elle rejoint le moment où elle a été écrite.

Dans le présent elle disparaît. Cela peut durer 20 minutes maximum. Le périmètre où elle se trouve dans le passé ne dépasse pas 15 pas. Elle n'est plus invisible et peut prendre un objet de petite taille et le ramener dans le présent. Cet objet disparaîtra au bout de 10 minutes.

Si jamais le passé qu'elle tente de rejoindre est dans le monde des humains, tout sera flou sauf ce qui est mentionné dans le texte.

Effets non désirés : Plus Astrid reste dans le passé, plus une migraine s'installe. Si elle approche de la limite de son pouvoir elle commence à saigner du nez. Si elle se fait repérer dans le passé, elle revient directement dans le présent et perd connaissance.

Il lui faut 1 heure et trente minutes avant de pouvoir réutiliser son pouvoir. Sauf si elle a ramené un objet, il lui faut alors 2 heures. Pendant ce temps, elle est assez faible et doit éviter les efforts.

GRADE II: Capacités : Astrid peut revenir dans le passé en se concentrant sur un texte qu'elle est en train de lire ou qu'elle a déjà lu. Le passé qu'elle rejoint est différent selon ce qu'elle lit. S'il s'agit d'une histoire fictive, elle rejoint l'histoire même. Cependant si c'est une histoire réelle, elle rejoint le moment où elle a été écrite.

Dans le présent elle disparaît. Sa vision peut durer 30 minutes. Le périmètre où elle se trouve dans le passé ne dépasse pas 30 pas. Elle peut emmener quelqu'un avec elle dans sa vision mais cela seulement pendant 15 minutes. Elle n'est plus invisible et peut prendre un objet et le ramener dans le présent. Cet objet disparaîtra au bout de 15 minutes.

Si jamais le passé qu'elle tente de rejoindre est dans le monde des humains, tout sera flou sauf ce qui est mentionné dans le texte.

Effets non désirés : Plus Astrid reste dans le passé, plus une migraine s'installe. Si elle approche de la limite elle commence à saigner du nez. Si elle se fait repérer dans le passé, elle revient directement dans le présent et s’évanouit. Lorsqu'elle emmène quelqu'un avec elle, celui-ci ne ressent pas ses maux et est invisible.

Il lui faut 1 heure avant de pouvoir réutiliser son pouvoir correctement. Sauf si elle a ramené un objet, il lui faut alors 1 heure et trente minute, et si elle avait emmené quelqu'un avec elle, il lui faut alors 2 heures. Pendant ce temps, elle est assez faible et doit éviter les efforts.

Elle peut décider de réutiliser son pouvoir pendant son temps de repos. Si elle le fait, le saignement de nez sera constant, tout comme la migraine. À son retour, le temps de repos est doublé.

GRADE I: Capacités : Astrid peut revenir dans le passé en se concentrant sur un texte qu'elle est en train de lire ou qu'elle a déjà lu. Le passé qu'elle rejoint est différent selon ce qu'elle lit. S'il s'agit d'une histoire fictive, elle rejoint l'histoire même. Cependant si c'est une histoire réelle, elle rejoint le moment où elle a été écrite.

Dans le présent elle disparaît. Sa vision peut durer 45 minutes. Le périmètre où elle se trouve dans le passé ne dépasse pas 60 pas. Elle peut emmener quelqu'un avec elle dans sa vision mais cela seulement pendant 20 minutes. Elle n'est plus invisible et peut prendre un objet et le ramener dans le présent. Cet objet disparaîtra au bout de 20 minutes.

Si jamais le passé qu'elle tente de rejoindre est dans le monde des humains, tout sera flou sauf ce qui est mentionné dans le texte.

Elle peut désormais matérialiser un objet ou sans avoir besoin de se rendre dans le passé d'un texte écrit. Elle doit juste se concentrer dessus. Cet objet reste seulement 10 minutes avant de disparaître.

Effets non désirés : Plus Astrid reste dans le passé, plus une migraine s'installe. Si elle approche de la limite elle commence à saigner du nez. Si elle se fait repérer dans le passé, elle revient directement dans le présent et s’évanouit. Lorsqu'elle emmène quelqu'un avec elle, celui-ci ne ressent pas ses maux et est invisible.

Il lui faut 30 minutes  avant de pouvoir réutiliser son pouvoir correctement. Sauf si elle a ramené un objet, il lui faut alors 1 heure, et si elle avait emmené quelqu'un avec elle, il lui faut alors 1 heure 30. Pendant ce temps, elle est assez faible et doit éviter les efforts.

Elle peut décider de réutiliser son pouvoir pendant son temps de repos. Si elle le fait, le saignement de nez sera constant, tout comme la migraine. À son retour, le temps de repos est doublé.

Dans le cas de la matérialisation d'un objet sans se rendre dans le passé, seule de la fatigue est ressentie.

Behind the screen

prénom: Ai-je envie de vous communiquer mon intimité ? On ne se connait pas. Pff.

pseudo: Kiryame (appelez moi Kiry) → Pour les anciens de la vieille école : Shasha ou Shanou fonctionnent toujours.

âge: 20 ans (ouais, je commence à dater)

comment avez vous trouvé le forum:  Alors ça... Longue histoire. Tout commença le 13 mars 2015, date à laquelle j'ai créé mon premier compte sur une très ancienne version du forum. Je continue ?

comment le trouvez vous: C'est magnifique, je suis si fier de vous les enfants. J'ai envie de me remettre au RP grâce à la beauté et le sérieux de ce nouveau bébé.

un commentaire: Vous savez combien de temps ça m'a pris pour trouver un nouvel emploi à Astrid ? Y a pas Pôle Emploi sur l'île et depuis la fermeture de Xényla, ça a été très compliqué.
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